C'est l'essence même de notre hypothèse (sans jeu de mot) : Le turbo augmente le rendement du moteur à combustion. Avec un rendement plus haut, on peut espérer tirer la même puissance du moteur en réduisant la quantité d'essence injectée dans les cylindres. L'idée étant que l'admission d'air comprimé dans les cylindres augmentera la quantité d'oxygène disponible et augmentera alors le taux de combustion complète du carburant.
Avec un megasquirt pour ajuster les différents paramètres (injection, timing, etc), il serait selon moi possible de donner un coup de modernité à nos moteurs. On est 3 ingénieurs et un prof à penser pareil (240_brick, neutrino, notre ami martin, et le prof de SPVC) !
C'est la thermodynamique qui le dit ! Car autrement, l'énergie qui fait tourner la turbine du turbocompresseur est perdue par l'échappement en chaleur et en énergie cinétique.
Hmmmm bein l'idée serait de ne pas augmenter la quantité d'essence trop trop, donc plus d'oxygène et autant d'essence donne une meilleure explosion qu'un N/A. Moins bonne que si l'on donnait plus de gaz mais quant même.
245 90 (350 000 km ou +)
V50 09 (101 000 km) VENDU
245 90 "Le Transporteur" (330 000 km) FERRAILLE
244 91 "Winter beater" (360 000 km +) VENDU
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